Bavareine.Kiwie

On a tous - ou presque, je prends les devants - déjà fait ce test qui nous indique quel(le) héros ou héroïne nous sommes. Je ne sais pas pour vous, mais j'ai toujours été déçue du résultat. Par exemple, au lieu de tomber sur Bree Van De Camp je tombais sur Lynette Scavo. Non pas que je ne l'aime pas, mais je trouve qu'elle ne me correspond pas. Tout d'abord parce que je ne veux pas une multitude d'enfants mais juste deux. Un garçon et une fille, exactement, et si le sort en décide autrement j'économiserais pour un congélateur XXL que je remplirai jusqu'à ce que. < Je plaisante, hein. Je ne suis pas encore inhumaine à ce point, fort heureusement pour moi. > Et puis il y a cette maniaquerie, fort peu intense mais néanmoins présente. Lorsqu'elle arrive, plus rien ne m'arrête jusqu'à ce que je finisse ce que j'ai à faire. Tout ceci pour dire que ces tests - comme tous les autres tests, remarquez - sont dénués de sens. Aussi, la vraie question qu'il conviendrait à se poser serait : Quel(le) héros ou héroïne souhaiterais-tu incarner, et pourquoi  ?

Toute petite, je rêvais d'être Buffy Summers de la série Buffy Contre les Vampires. Elle faisait alors partie de ces premières femmes mises en avant dévoilant une force physique dépassant l'imagination de l'époque. Beh ouais, une fille qui sauve le monde ... Ça change. Alors je regardais les épisodes de la série des dizaines de fois, accro que j'étais, jusqu'à en connaître les dialogues par coeur. ♥



Puis, plus récemment, je me suis imaginée être Prue Halliwell de Charmed. Vous me direz qu'elle n'a rien de bien extraordinaire si ce n'est son don magique. Mais c'est justement ce don que j'aurais aimé avoir. Entre la possibilité de déplacer des objets à distance et éjecter quiconque sur le mur < Niark Niark. > ... Parce qu'il y en a des gens à placarder au mur ! A commencer par les Twinneux. *_* < Cherchez pas, ils n'en valent pas la peine pour savoir de qui il s'agit. > J'avais d'ailleurs particulièrement aimé l'épisode vingt-deux de la saison trois dont je vous offre un extrait : Cliquer ici.

Pour finir, j'ai rêvé être Shalimar Fox de la série Mutant X, une série hélas achevée trop vite. Il s'agit d'une femme dont l'ADN a été modifié lorsqu'un chercheur tentait de la sauver et qui se retrouve donc dotée de chaque capacité des félins (vision, agilité, le fait de retomber sur ses pattes, mais aussi la peur du feu.). Je ne sais pas trop ce qui m'attire tant chez ce personnage, si ce n'est mettre une bonne raclée aux mêmes personnes qui mériteraient de goûter un peu au mur. < Non non je ne suis pas violente du tout !! >

Et toi, quel(le) héros ou héroïne souhaiterais-tu incarner (Ou as-tu souhaité.), et pourquoi ?
 

L'on nous défend souvent de trop réfléchir, d'avoir l'esprit totalement embrouillé car le choix d'un camp ne nous est pas aussi facile que certains. L'on nous critique d'être trop marginaux, de vouloir en quelques sortes s'extirper du lot d'individus pathétiques de notre monde, pour la simple raison que nos décisions ne soient pas ceux auxquels on se serait attendu. Il semblerait, en tous cas, que nos choix ne soient pas les bons et qu'il faille choisir entre deux idéologies bien définies et déjà construites plutôt qu'adopter la notre. L'être humain ne serait donc il plus en état de penser par lui-même, et par conséquent pourrais-je même dire d'exister en tant qu'individu ? Nous n'avons plus affaire à des personnes, car ce serait là un titre bien trop personnel dans un monde où seule la collectivité persiste détruisant à elle-seule l'Homme en tant que tel, mais bien à deux camps dans lequel il m'est impossible de distinguer le moindre guerrier. C'est pour ainsi dire une masse que j'aperçois au loin. Un brouillard. Nulle envie d'y pénétrer, nulle envie de me sentir utile – et encore, cela serait à démontrer – tout en étant privée d'être moi-même. Servir un être hautain qui ne sait distinguer un de ses fidèles d'un de ses ennemis quand ceux-ci se trouvent au sein même d'une foule aussi bruyante que l'on pourrait la comparer à une ruche bourdonnante d'abeilles acharnées ? Non, je ne suis fort heureusement pas de ces petits candides qui pensent un seul instant exister aux yeux de leur supérieur et ainsi espérer bénéficier de l'aide de ce dernier et de sa bénédiction lors sa peut-être victoire. Ma confiance est une des choses que je n'accorde qu'à trop peu de personnes, vous devez bien le comprendre et donc faire comme simple déduction que jamais je n'irai me soumettre à tel personnage. Depuis quand l'on est amené à se soumettre par crainte ? Car c'est, je pense, l'une des raisons maîtresses qui pousse les fidèles à s'agenouiller lorsque le soi-disant supérieur s'avance vers eux. C'est parce qu'ils sont assez idiots pour penser qu'une simple soumission puisse faire la différence lorsque le supposé Dieu n'aura plus besoin de leur précieuse aide qu'il persiste autant d'esprits manichéens en ces lieux.

Une autre hypothèse pourrait être qu'en chaque homme réside un espoir portant bien évidemment sur chacune des deux divinités. Mais où est donc passé l'espoir que les Hommes ont en eux-même ? Ne sont-ils donc plus capables de sauver ce qui, à leurs yeux, est en pleine perdition ? Ont-ils réellement besoin d'un soi-disant sauveur, prêchant des paroles de haine ou encore un discours soi-disant pacifique selon le côté duquel on se place ? Depuis quand la stabilité d'un monde se fait-il par la force, et pire ... Je n'ai jamais vu, depuis le commencement, un peuple haineux rester de marbre lorsqu'un Candide ose espérer prendre la tête du pouvoir. Où est donc la possibilité d'une équité dans tout ce monde aussi diverse soit-il ? La diversité est une tare, car elle empêche une paix prolongée, mais elle est aussi une bénédiction car qui n'a jamais eu peur d'un monde dans lequel tous seraient du même avis, tous seraient finalement pareils. Il n'y aurait alors plus de remise en question, plus de divergence de pensées, plus de vie autant le dire ainsi. Car ce sont ces conflits perpétuels qui donnent un certain rythme dans notre existence, qui nous donnent sans cesse envie de nous surpasser pour nous en aller contrer autrui. Ce sont ces conflits qui font de nous des êtres pensants à condition que notre pensée ne soit déjà cloisonnée par une idéologie préfabriquée par un autre que soi suite à ce que nous appelons communément bourrage de crâne. Car, en effet, c'est ce qui est en train de se passer sous nos yeux sans que nous ne nous en apercevions. Une réalité bien malheureuse que celle-ci.

L'on nous défend souvent de trop réfléchir, de résister à la tentation d'une certaine facilité et finalement de se penser au dessus des autres. Car, en y réfléchissant, ce peut être une hypothèse du camp des crédules. Quelqu'un qui pense pouvoir se sauver lui-même, ou encore se construire une idéologie tout à fait personnelle, ne se sur-estime-t-il pas ? Vous avez peut être raison. Qui suis-je pour contrer des hypothèses sur les agissements et pensées de mes semblables ? Mon avis n'en serait que trop subjectif. Toujours est-il que jamais je ne m'abaisserai comme peuvent le faire ces ingénus, jamais je ne me rattacherai à l'un de ces deux camps dérisoires, jamais je ne m'imposerai de fers aux poignets. Non je resterai libre pour toujours, reine de mes pensées, maîtresse de mes actions. Moi-même, juste ça.

♪ Within Temptation - Shot in the Dark

< PS : Merci de ne pas tenir compte des phrases étranges, la fatigue faisant que. > Le temps semble s'être décidé à fuir. C'est simple, je n'avance plus assez vite pour lui et il s'en est allé à vive allure me traînant difficilement derrière lui. Entre les week-end qui n'en sont plus et les semaines que je ne sais voir passer, je me dis que l'année sera finalement vite finie. Bonne nouvelle. Oui, mais. J'ai peur, comme n'importe qui qui achève un cycle d'étude et se prépare à en entamer un nouveau. Oui, mais. Je ne connais toujours pas la suite. Irai-je en Licence Professionnelle à l'autre bout de la France, ou bien en simple Licence à Bruxelles aux côtés du Bavaroi ? Ce sera la décision du père, comme toujours. Et j'ai peur que les nombreuses contraintes qu'entraînent mon départ à Bruxelles ne soient un obstacle infranchissable. Alors j'attends la décision fatale. J'attends parce que je me souviens encore de ces bleus lorsque j'ai trop insisté, et je ne suis pas pressée de les retrouver. < Car j'ai beau être une warrior, je suis très vulnérable. Ahem. > Et puis cette fin d'année implique le passage obligé par l'examen qui me permettra d'avoir mon diplôme, et j'ai peur. Peur de ces six heures de TP qui pourraient tout simplement m'être fatales. Et si mon père acceptait que j'aille vivre à Bruxelles, mais que malencontreusement je n'obtenais pas mon diplôme ? Cette éventualité n'est pas nulle, et j'y pense bien trop souvent. J'y perds mon temps. Et puis, enfin, il y a Eux. Eux que j'ai à la fois envie de quitter mais que j'ai irrésistiblement envie de continuer à côtoyer. Le paradoxe c'est toute ma vie, que voulez-vous ?

J'ai finalement eu une note acceptable à mon contrôle de TP d'analyse < Merci le compte rendu. A qui l'dîtes vous. > et à mon contrôle de Chimie Organique. Un petit 19 orne ma copie de Français que l'on m'a rendue ce matin. Tout baigne, en somme. Si on omet la fatigue et ce BTS Blanc qui approche à grand pas. Nul temps de réviser. Ce sera fait de manière très improvisée. En Freestyle, comme diraient certains. Et parce que je déborde de temps libre < Ça se voit, non ? >, j'ai trouvé le temps de m'inscrire sur un forum pour me cultiver un peu niveau culture gothique. < Histoire aussi de voir un peu du pays par rapport à ce que je vois tous les jours. Entendre à longueur de journée qu'être homosexuel est une tare - ceci est un exemple pour imaginer un peu-, je vous jure que j'ai envie de me cacher tellement j'ai honte de rester avec ce genre de personne. Où est passée la tolérance dans tout ça ? Bref. > Et je vous annonce la bonne nouvelle du week-end ... Le nouvel album de Nightwish est sorti !!! Quel bonheur. Pour la peine, je vais smileyer. Attention les yeux.
 

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Mêlant à la fois métal, musique typé traditionnelle et musique conceptuelle < J'essaie de m'lancer dans la critique, on ne critique pas. > ... Je trouve cet album assez original et bien mieux que le précédent. Et je m'en vais de ce pas vous faire partager un peu tout ça. Parce que vous le valez bien, forcément. :) Bonne écoute, et à la prochaine. < On se donne rendez-vous dans dix -ans. Même jour, même heure, même lieu. >

♪ Leave's Eyes - Melusine

« C'est le Week-End, smile ! T'as eu 19 à ton BTS Blanc de Travaux Pratiques en Génie Chimique < Pfiou, c'est long. >, smile ! » Mouais. J'ai aussi une montagne de devoirs qui m'attendent < Dont mon fameux contrôle de Chimie Organique foiré à recommencer. Youhou. >, une motivation à couper le souffle à une grenouille et mon moral qui n'aide pas. Mais bon, smilons pour le principe hein. Ce midi je suis partie manger avec quelques filles de ma classe sur Paris parce que je n'avais tout simplement pas envie de rentrer chez moi. Non pas que je m'y sens mal, loin de là, mais je m'y sens bien trop seule, entre les quatre murs de ma chambre. J'aurais pensé à Lui, puis à Lui, ou encore à Lui. A n'importe lequel, ça ne change pas grand chose en fait. Mais soyons positifs, dans trois semaines Lui s'en va pendant trois mois. Smile. Et puis il y a Lui, le vrai, le crétin fini < Si tu te rappelles. > qui n'est pas là ce soir parce qu'il est parti à une soirée. C'est sans doute ce qui me mine le plus le moral. Je voulais voir Le Seigneur des Anneaux : La Communauté de l'Anneau histoire de passer le temps mais plus le temps avance et plus la possibilité de le voir en entier devient minime. Au final, je sens que je vais passer la soirée à rafraîchir mes pages < Avec un petit vaporisateur Evian. Je connais la sortie. > internet dans l'espoir d'y voir un quelconque message me permettant d'esquisser un sourire. Smile. Comme quoi avoir de meilleures notes n'a rien arrangé du tout, je suis toujours au fond du trou. < Bordel de caca pourri, vlà que je me mets à pleurer pour la 5148953ème fois de la semaine. M'énerve. Smile ! J'te zute. > Mais détrompez-vous, il m'arrive parfois de rire. Notamment en présence de spécimen plus que spéciaux, comme cette nymphomane ambulante présente dans ma classe, même si au fond elle m'agace particulièrement. Après avoir tout tenté pour obtenir de V. ce qu'elle attendait, la voilà qui a jeté son dévolu sur S. - qui a, juste comme ça, une petite copine mais bon. -. « Tu fais quoi avec ton téléphone ? » [Tout en présentant bien sa poitrine tandis qu'il ne lève pas les yeux. Lolilol.] , « Oh ta copine est blonde donc j'ai mes chances. » [Elle est blonde.] , « Je suis allée chez Undiz, j'ai acheté des nouveaux sous-vêtements. Tu les trouves comment ? » [...] Y'a pas à dire, je suis restée abasourdie lorsqu'on m'a dit pour la dernière citation. Ça donne légèrement la nausée ce genre d'individus. SMILE ! < Hors Sujet là. > Les larmes sont parties. Youhou ! Un peu comme ma nausée de mardi. L'intoxication alimentaire est la dernière hypothèse donnée par ma belle-mère. Je la laisse chercher, elle ne trouvera jamais de toutes les façons. Je vais donc m'en aller faire la sauce de salade que je suis censée faire depuis une bonne petite demie-heure puis m'ennuyer jusqu'à ce que mes paupières ne sachent plus rester ouvertes. Je vous souhaite tout de même une bonne soirée, et un bon week-end éventuellement.

♪ Trisomie 21 - La Fête Triste

Lorsque j'aurais le Premium, je mettrais un joli fond aux milles couleurs pour me rappeler que nous sommes en été. Je ne sais pas exactement combien de degrés est-ce qu'il fait dehors, mais je sais cependant que je meurs de froid. < Alors moi qui pensait avoir trop chaud ce matin, et qui de surcroît avait mis un léger gilet au lieu d'un gros pull, l'on peut dire que j'ai été servie. > Et cette nuit qui tombe si vite me donne le cafard. Novembre est le mois que je déteste le plus. < Vous pouvez noter cela dans la liste de choses que je honnis. J'aime sortir les grands mots, oui. > D'une part parce que les jours ne cessent de se raccourcir, mais aussi parce qu'il n'y a pas Noël pour égayer un minimum les rues. Non, les vitrines remplies de pères noël ça ne compte pas. Notez que j'ai été surprise sur mon chemin du retour, lorsque je me suis arrêtée à Monoprix < Oups, vlà que je fais de l'anti-pub. > pour acheter des feuilles simples format A4 à grands carreaux < En clair, les feuilles qu'on prend pour noter ses cours. > et qu'à part me retrouver face à des pères noël et des calendrier de l'Avent < 18,00€ le calendrier. Et en plus ce ne sont même pas des chocolats. L'arnaque. >, je n'ai pas trouvé ce que je cherchais. Oui, ils sont forts les commerçants dans le coin. Néanmoins, pour leur défense, je tiens à dire que je suis finalement parvenue à trouver < Non pas les feuilles. Trop simple, ça. > de quoi relier mon rapport de stage que je suis censée avoir rendu depuis une semaine. Je vous laisse admirer, ce qui peut encore l'être. < Oui parce que je sens que le contenu va être très légèrement modifié d'ici peu. >

 

Sans transition, je voudrais vous parler de manière très brève de cette musique on ne peut plus glauque < Enfin si, on peut. Mais c'était une façon de parler. > qu'est celle de La Fête Triste du groupe Trisomie 21. Juste parce qu'elle a fait parti des trois dernières musiques de la soirée Halloween que j'ai passé avec mon Bavaroi < Les autres étant Radioactivity de Kraftwerk et Cantara de Dead Can Dance. J'élargis mon horizon musical. > et sur lesquelles on a inventé un slow alors que ce n'était pas franchement approprié. La dure fatigue des fins de soirée, en effet. Toujours est-il que cette soirée fut plaisante comparée à ce que je m'imaginais de prime abord et qu'elle fera l'objet d'un article si j'en trouve la force. < Que la force soit avec toi Luke Skywalker ! Non, c'est surtout que je veux que cet article soit aussi parfait que la soirée a pu l'être ... Et c'est difficile. > En attendant que la force tombe du ciel, je m'en vais plonger dans mes fiches de Chimie organique pour mon contrôle de demain. < Et Dieu sait que c'est dur. Et plus c'est dur mieux c'est. Ouais bon, chut. >